Elles sont enfin arrivées : signe que le printemps est plus qu’une date au calendrier, les grandes oies blanches sont retour, nous donnant espoir de jours plus doux et de verdure.
Normand Gagnon en croqué des centaines, ce qui lui a inspiré ce petit poème.
Les oies étaient là ce matin
Donne-moi la main
Longeons le ruisseau qui traverse la pinède
Jusqu’au fleuve
Où nous pourrons célébrer avec elles
Les grands bonheurs retrouvés
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